Waf, waf, waf et plus si affinités

Rex et le Chien, c’est l’histoire d’une rencontre entre le Chien, chien des rues, sans nom, sans laisse et sans maître, et Rex, chien domestiqué (dont on ne verra jamais l’autre bout de la laisse) que sa condition n’a jamais gêné jusque-là, bien au contraire.

Au fil de l’album, le Chien va tenter de redonner à Rex la conscience de sa condition de chien.

Du bon usage d’un os à la redéfinition de celui d’un collier antipuces, de l’apprentissage du métier de chien de garde à celui, plus élémentaire, d’un aboiement à peu près digne de ce nom, le Chien va vite s’apercevoir que la route est longue quand on a face à soi un congénère dont l’idéal de réussite et de liberté ultime est de posséder une niche de 25 m2.

Si certains gags sont repris de la version de « Rex et le Chien » parue en 2005 aux éditions du Cycliste, une majorité ont été réécrits, tous ont été redessinés et l’album est considérablement augmenté de gags inédits.

Aux côtés des nouveaux gags mettant en scène Rex et le Chien seuls, vous pourrez découvrir dans des rôles secondaires, Mex, le cochon d’Inde mexicain que Rex a engagé pour garder sa propre niche, Maréchal, le Rot weil »hit »ler, aussi facho que son nom l’indique, Coco lapin, le cocker cocaïnomane (qui doit son surnom à ses oreilles de cocker dressées droites au-dessus de sa tête au lieu d’être pendantes, comme tout bon cocker qui se respecte), Husky Johnny, qui a posé du temps de sa gloire pour des t-shirts avec Johnny Hallyday, et quelques autres encore…

« Les derniers seront les premiers »

Après une vie de labeur et de sacrifice où Martin s’est appliqué à marcher droit dans le sillon que d’autres avaient tracé pour lui, cet ouvrier modèle meurt le jour de sa retraite, le sourire aux lèvres et le nez dans sa dernière gamelle de purée.
Cette fin peu glorieuse est le point de départ de cette histoire, car en plus d’être un stakhanoviste de tous les instants, Martin est un croyant+++ qui toute sa vie a vécu en attendant la mort.
La parabole des ouvriers de la onzième heure se conclut par un des slogans star de la bible : « Les derniers seront les premiers ».
Ce slogan, Martin en a fait l’étoile qui a dirigé sa vie et aujourd’hui qu’il en a fini avec son quotidien de misère, il espère bien devenir LE numéro 1 (après Dieu) que le paradis attendait.
Sauf qu’au paradis, entre tracas administratifs et gestion de l’infini, les choses vont se révéler un peu plus compliquées que prévues, à commencer par cette tache de purée au milieu du front qui s’obstine à ne pas vouloir partir.
« Le pigeon de la onzième heure » est un récit qui mêle religion, lutte des classes, croyances, espoir, aigreur et purée séchée dans une fable absurde qui ne manquera pas de vous faire rire si vous n’y réfléchissez pas trop.

UNE BANDE DESSINEE HILARANTE ET SANGLANTE !

Quelque chose sur le chemin met en scène deux braqueurs loosers, Frank et Helmut qui rencontrent Eddy, assassin par accident. Les trois font équipe pour tenter de fuir leur passé à travers un road trip dans la campagne picarde. Mais leurs fait et gestes sont surveillés par des forces obscures qui les dépassent et ils se retrouvent bien malgré eux, au centre de la bataille qui oppose Satan aux Grands Anciens pour le contrôle de la Picardie. Car celui qui contrôle la Picardie, contrôlera le monde…

De l’action, du fantastique, de l’humour ! Hell yeah ! »

De l’action, du fantastique, de l’humour ! Hell yeah !

Franck pleure la mort d’Helmut, son ami assassiné trois ans plus tôt dans une lutte acharnée avec les forces du Mal. Ses errances dépressives le mettent sur le chemin de la vengeance : rejoindre les Enfers, y puiser l’énergie pour combattre les puissances maléfiques, et remplir la mission que Satan lui a confiée…

Récit d’aventure en deux volumes, le 8ème cercle n’est pas sans rappeler les séries B et Z, avec humour et poésie aux couleurs de la damnation.

Bienvenue en Enfer !

DE CAP ET D’EPEE, ENTRE HOLLYWOOD DES 40’S ET MAFIA ITALIENNE

« Riposte » est un polar qui rend hommage aux films noirs des années quarante ainsi qu’à
l’escrime, un sport que pratique l’auteur depuis vingt ans et dont l’histoire riche le passionne.

Le thème de Riposte : victime d’une machination et traqué par la police, un maître d’armes au passé sombre tente de démasquer le vrai coupable avant qu’il ne soit trop tard.

« Livourne, Italie, 1930 : un garçon de quatorze ans, Luca Di Serafino, prend sa leçon d’escrime quotidienne avec son grand-père maternel, Giorgio, un célèbre maître d’armes. Le jeune Luca, escrimeur habile, s’entraîne pour sa première compétition internationale, qui aura lieu dans quelques mois.

Des années plus tard, en 1947, nous retrouvons Luca à Hollywood sur un plateau de tournage, où il travaille comme directeur des combats à succès pour le cinéma de cape et d’épée.

Selon la rumeur, Luca se serait battu en duel en Italie des années auparavant et aurait tué son adversaire ».

www.dcdrawingsfr.fr

Histoire fantastique teintée d’horreur, Freakshow vous emporte dans les abysses sombres et maudits du territoire des morts vivants !

Tout débute avec nos deux jeunes héros qui se promènent bien innocemment dans une fête foraine: ils découvrent les merveilles qui les entourent et rencontrent des personnages hauts en couleur.

Mais, au fur et à mesure de leurs déambulations, cette ambiance ne semble plus aussi festive, la fête foraine prend des aspects inquiétants et se transforme peu à peu en cauchemar à l’arrivée de zombies qui l’envahissent à grand bruit à la nuit tombée. On assiste, impuissants, aux tentatives des deux enfants pour quitter ce lieu maudit sur terre.On explore les méandres de cette fête foraine infernale à la recherche d’une parcelle d’humanité. Rejoints par une Communauté composée de toutes sortes de monstres de foire, Les freaks et les enfants tentent à tout prix de survivre à cette invasion de morts vivants en le payant parfois très cher.

Entre damnation et rédemption, ils devront choisir leur voie car à Freakshow, nul n’est innocent !

L’anti-héros déjanté de Comicswood !

Un univers multidimensionnel, des super pouvoirs, des ovnis, des extraterrestres, des monstres…

Dans ce Comics à la française composé de trois épisodes, tout est réuni pour laisser place aux exploits d’un super héros, enfin presque ! Car c’est un jeune homme des plus ordinaires et simple d’esprit qui hérite par erreur de super pouvoirs époustouflants. Commence alors le récit de ses (més)aventures : avec une maladresse touchante, notre antihéros tente en vain de maîtriser la situation.

L’humour est au rendez-vous, le lecteur est entraîné dans un univers décalé, déjanté et jubilatoire, découvrant parfois des situations ubuesques dans de grands éclats de rires.

Les adresses discrètes mais directes au lecteur établissent une subtile complicité avec l’auteur au fil de ce récit savoureux.

Les dessins en noir et blanc, renforcés par des aplats de gris, maintiennent un train rythmé et foisonnant, assaisonné par des dialogues piquants mais jamais vulgaires et quantité de clins d’œil à l’univers américain des super héros.

Lisandru Ristorcelli sévit de nouveau dans l’univers des Comics avec le deuxième opus de La Traînée Jaune !